Archives mensuelles : Mai 2007

Conne d’habitude

J’aurais plein d’idées à écrire (ou peut-être qu’elles ne font qu’une) mais je viens de me faire une réflexion au sujet de ma méthode de travail. Je suis analyste programmeur mais la partie analyse a beaucoup d’importance et m’est utile dans la vie de tous les jours. Les fonctionnalités et les intentions, c’est bien mais il faut aussi penser au long terme.

Par exemple, j’ai toujours l’habitude d’écrire la majeure partie d’un texte sous un logiciel dédié au traitement de texte avant de le poster où que ce soit. Ainsi je suis passé par mon éditeur de texte favori pour écrire tous les précédents articles (celui-ci inclus) de ce blog et bien d’autres encore. Je les ai non seulement écrits mais sauvegardés sur le disque dur.

Si avant je prenais l’habitude de créer un document par sujet, ici j’ai fait une erreur : j’ai créé un document « blog » qui reprend tous les posts (et en plus non repérables par des titres en mode plan et pire encore non mis à jour).

Et chaque fois, bêtement par la maladie qu’on appelle « l’habitude« , j’ouvre ce document dont le poids augmente de post en post. Pourtant si on y réfléchit bien je n’ai que faire de charger en mémoire les posts précédents.

Alors, toi, internaute qui lis ceci, si tu te sens concerné par ces dires et que tu te dis « De toute façon j’ai encore de la marge », pense seulement qu’au moment venu tu perdras bien plus de temps à tout réorganiser (sans négliger les crises de nerfs et les erreurs) qu’à faire un arrêt immédiat pour remettre en question tes habitudes.

Précédemment je parlais indirectement de capacité toujours grandissante des disques durs. Y stocke-t-on réellement plus de choses utiles (ou plus volumineuses) ou sommes-nous tout simplement fainéants de faire le tri ?

Et je pèse mes mots en disant ça car, pour celui qui ne s’est jamais intéressé à la politique de Google Mail, ils disent clairement que l’énorme espace de 2GB (j’ai arrêté de suivre l’évolution, désolé) toujours grandissant est justement mis à disposition pour éviter de faire le tri dans ses e-mails !

Ne triez pas, cherchez ! (ou « trouvez », c’est presque le même ^^ )

Ceci est bien entendu contradictoire à mes déclarations précédentes et, si elles sont vraies, ça veut dire que Google finira par se casser la gueule. Plus d’informations = temps de recherche plus élevé. Les méthodes d’indexation finiront par trouver leurs limites, un jour… peut-être, peut-être pas.

Google deviendra tellement intelligent qu’il va penser à notre place. Si un e-mail disparaît, c’est qu’on n’en avait plus besoin, logique 😀

Comme je suis méchant… 🙄

Quand le vendeur manque d’imagination

Si on considère que mon disque dur a une capacité de 10GB et que ça me semblait super raisonnable avant d’avoir autant de logiciels installés et de fichiers, à l’heure actuelle je fixerais le seul minimal à 60GB (histoire d’être vraiment confortable) mais 30Gb me suffiraient amplement.

Que faire donc d’un disque dur de 120GB ?

Enregistrer 25.000 MP3 ou 25.000 photos, à raison de 4MB chacun, bien évidemment !

Voilà un déraisonnable argument de vente que j’ai lu sur une réclame publicitaire qui mettait en évidence un ordinateur PC complet livré avec son système d’exploitation.

Cette comparaison de capacité s’adresse bien sûr à celles et ceux qui ne se rendent pas compte de ce que représente 1GB (=1024MB ou 1.048.576KB), mais cette attention est vite mise à tort dans la mesure où le disque était censé contenir principalement le système et quelques logiciels.

Alors je n’ai plus qu’à aller m’acheter 1470 albums de musique et m’amuser à les coder en MP3. Je crois que je n’aurai pas assez d’une vie pour le faire, leur attribuer un tag à chacun et les écouter.

A raison de 10 MP3 téléchargés (légalement) par jour, sans relâche, il me faudrait plus de 6 ans pour remplir 120GB de musique.

Autant comparer des choses réalistes, la prochaine fois, si le vendeur tombe sur ce message, il préfèrera sans doute parler de DiVx 😉

La vérité sur le faux

Aujourd’hui (enfin hier) j’ai passé une bonne partie de la soirée à lire quelques articles d’un chouette site qui ne m’a pas rendu hibou et ni moins encore taupe, pour ne pas avoir respecté la distance minimale entre mes yeux et l’écran (par contre j’ai adapté la luminosité et le contraste).

Bien qu’attentif, l’animal de mon signe astrologique n’a pas vu l’ombre du gros rouge qui était posé sur la table de repas ; la bouteille n’a subi aucune attaque.

Que de révélations, j’étais au courant de… d’air (en plein milieu et ce n’est pas une blague). Pourtant je n’ai pas pris froid et tant mieux parce que, même à moitié mort, mon chien ne m’aurait peut-être pas secouru.

A l’inverse :

Couvre-toi ou tu prendras froid !
Compte les moutons pour t’aider à dormir…
Les chiens voient en noir et blanc.
Ca sent le gaz (au passage inodore).

 

Ce sont des idées reçues. C’est à dire des croyances « totalement fausses » mais dont la majorité des personnes est convaincue. Ces croyances se transmettent de personne en personne car l’idée nous plait, nous provient d’une source de « confiance » et on ne pense pas toujours à la vérifier.

En matière de clarification scientifique, le site Tatoufaux.com s’est fixé un réel challenge (prononcez « chat-lange »). Il traite des sujets divers et variés parmi lesquels : les animaux, la médecine et santé, et le langage. Il est impossible de tout lire en une seule soirée (ni même en deux) mais ce site est très prenant, d’autant plus qu’il propose également des articles de façon aléatoire et on a vite fait de cliquer sur un article et puis l’autre.

Enfin, pour en savoir plus que mon petit résumé sur l’histoire, le fonctionnement et la persistance des idées reçues, n’hésitez pas à consulter la rubrique « Pourquoi ? » du site, ça en vaut la peine.

Vous déprimez face à ces révélations ? Inutile de vous défouler sur le chocolat, il n’a aucun pouvoir anti-dépresseur. Allez plutôt compter les moutons pour garder votre cerveau actif et concentré.

Si ça ne vous distrait toujours pas, sortez votre mouchoir mais ne comptez pas sur moi pour vous souhaiter de bien soigner votre rhume (ni d’été, ni d’hiver), c’est tout simplement impossible (les limites de la médecine). Plutôt qu’un comprimé avalez un morceau de sucre, vous ne deviendrez pas diabétique pour autant.

 

PS : Je ne crois pas en l’existence passée des dinosaures, depuis tout petit, et malgré les preuves scientifiques je m’y réfute… c’est une pure invention. Par contre je crois aux fantômes (et ce n’est toujours pas une blague pour me faire des ennemis archéologues, j’aime l’archéologie autant qu’un film de science fiction et de chasse au trésor, donc j’aime ça) ^^ Oui je suis une contradiction vivante et en plus l’existence d’une espèce ou l’autre n’a rien à voir avec les idées reçues 😀

J’ai joué avec le singe

Voilà deux jours que je me suis penché sur le développement d’un premier UserScript GreaseMonkey utile, destiné à améliorer (très modestement) la recherche d’images pour Google. Bien que mes qualifications en analyse et programmation me permettaient de réaliser ce genre de scripts depuis un bon moment déjà, je ne m’étais jamais essayé à améliorer une page ou l’autre.

Mais ma plume, quant à elle, prenait note de mes frustrations. En comparant les divers moteurs de recherche que j’utilise le plus (voir post précédent), j’avais moyennement plussoyé Exalead pour fournir un lien direct vers l’image sans s’encombrer du contenu de la page avec des volets.

Je suis parti à la recherche d’un UserScript tout fait pour avoir pareil sur Google. J’ai trouvé, mais sur les deux versions différentes disponibles en téléchargement, aucune ne me donnait satisfaction :

La première version donnait le lien direct vers l’image seulement si la touche ALT du clavier était enfoncée (Il est un peu dommage d’obliger à utiliser cette combinaison, donc deux mains, sans compter les éventuelles interférences avec d’éventuelles autres extensions).

La seconde version, basée sur la première, éliminait carrément le lien standard avec les cadres et proposait le lien direct vers l’image ainsi que le lien direct vers la page (Cette modification reste assez bouleversante, elle n’est pas minimale).

J’aurais pu reprendre ces scripts mais je m’étais lancé un challenge délicat : Ne rien modifier de l’architecture Google (histoire de ne pas être dépaysé en absence du script) et exploiter l’existant inutilisé.

Vignette Google Image

En effet, sous chaque vignette figurent les informations de dimensions, de poids et de format de l’image originale. Ce sont ces informations que je trouve parlantes afin de mener directement vers l’image. Evidemment, Google n’étant pas fort sémantique dans sa structure, rien ne permet d’atteindre facilement cette section ; j’ai remué mes neurones pour trouver la logique (encore non rompue par une preuve contraire) suivante :

Le détail d’une vignette commence par un texte descriptif contenant d’éventuels mots gras, suivi d’un saut de ligne, suivi immédiatement du détail technique de l’image (suivi d’un saut de ligne, suivi du domaine, suivi d’éventuelles remarques). J’ai l’impression de me retrouver à l’école devant les énoncés de CoBOL et Fortran ^^

J’avais enfin trouvé mon délimiteur le plus fidèle et après quelques heures de recherche, de développement et de tests, je suis arrivé à un premier résultat* plus ou moins satisfaisant et propre (bon, les puristes trouveront des choses à dire).

*Version obsolète. Mise à jour disponible ici.

Structure algorithmique parlant, je n’ai pas pu m’empêcher d’insérer un tas de test (le strict minimum cela dit) au cas où la structure du document viendrait à changer de sorte à annuler mes estimations. Ca reste approximatif (50/50) mais ça m’enlève quelques messages d’erreur et/ou plantages sur la conscience.

Il est évident que ces tests gaspillent des ressources au traitement à proprement parler mais suffisamment pas assez pour risquer une confiance aveugle en la stabilité de la structure de la page aux points radicaux. ‘Enfin, sur ma petite configuration ça ne ralentit absolument rien.

Bref, ce fût amusant et je ne doute pas qu’on puisse optimiser davantage mon code (license GPL). Mais l’idée ici n’était pas de fournir un script mais plutôt d’analyser modestement cet aspect technologie. En tout cas j’en fais utilisation :-p

Les e-mails, priorité de droite ?

Au moins une fois par semaine, depuis des années, je reçois des e-mails. C’est beau de penser à moi hein ? 😀

Mais depuis ce temps j’ai appris à faire la distinction entre les messages qui parlent de mes expéditeurs et/ou de moi, de ceux qui parlent de tout et de rien : Belles pensées, blagues marrantes,… Des petits mots qui font parfois du bien.

Malgré tout, deux choses me dérangent dans ces derniers messages : D’une part, l’absence d’un sujet parlant qui permettrait d’avoir une idée plus précise du moment approprié pour la lecture. Et d’autre part, la mauvaise utilisation du degré de priorité du message.

Priorités mails

Car, si on a généralement l’habitude d’employer la priorité haute pour les messages importants, la priorité basse est une pensée dont personne ne semble avoir le réflexe.

Ainsi j’ai appris à repérer un message « normal » d’un message à « priorité basse », selon mon feeling. Cette méthode semble toutefois dangereuse car je risque un jour d’ignorer un message « normal » parmi tant d’autres « normaux » qui ne le sont pas.

Hélas, l’éternel train-bouton-train « transférer » semble avoir des adeptes indémontables sans possible détour.

Je félicite tout de même certain(e)s de mes ami(e)s qui, ayant écouté mes conseils, pensent à éliminer la longue liste de personnes ayant jusque là reçu le message. Liste bien trop confidentielle que pour passer dans les mains de n’importe qui.

Destinataires cachés

Enfin, en matière de confidentialité des adresses, la case Cci permet de masquer aux autres destinataires les adresses des autres. Ce n’est pas très français mais ça se résume à « destinataires non révélés« . Cette case est disponible sur tous les clients mail et la plupart des webmails.

PS : Les images sont d’ignobles captures d’écran de Outlook Express ignoblement retouchées. 😀

Le cahier moléculaire M$

Je faisais les courses avec ma maman et je me suis arrêté devant du Microsoft. Vous m’imaginez sûrement devant le rayon informatique mais vous êtes à côté de la plaque, ce magasin ne vendait rien de tel. Déçu hein ? :-p

Cette rencontre avec cet objet très particulier m’a donné une toute autre vision de l’écriture manuscrite. Je parlais de retourner aux bancs d’école (la colle était un jeu de mots, au cas où) mais on va y retourner version futur.

A la Trash Bin les cahiers (quadrillées, lignés ou rectangulaires), place au Live Messenger Atoma !

Mode d’emploi :
– Accédez à votre compte Live au moyen de votre empreinte digitale.
– Toujours à l’aide de votre empreinte, sélectionnez le service désiré et la page voulue.
– Munissez-vous de votre bic magique (compatible M$ ?) afin de rédiger vos écrits.
 
Précisions :
– Les sauvegardes se font automatiquement.
– Espace disponible : plusieurs dizaines de pages (A7, A5 ou A4).
– Espace blog personnel inclus.
– Aide mémo inclus.

Sous mes yeux se trouvait tout simplement un cahier Atoma en édition limitée de Live Messenger. Pour ceux qui ne connaissent pas, Atoma est une grande marque de cahiers « luxe » de bonne qualité (‘fin, ça dépend de l’usage qu’on en fait). Ces cahiers sont adoptés par de nombreuses personnes et générations (j’en ai même eu quelques uns par obligation scolaire) et n’ont jamais perdu de leur pouvoir séducteur inégalable. Surtout pas maintenant qu’il se sont mis, pour un temps, à prôner leur magnifique design (c’est vrai ils sont très beaux) au détriment de la qualité (qui reste cependant inchangée).

Atoma et Microsoft sont décidément de parfaits copains copains ^^

Pour les images, visitez la page d’Atoma Live Messenger.

N.B. : Apparemment ils auraient sorti une édition limitée de MSN Buddies mais elle m’a échappé. Si vous avez des précisions n’hésitez pas à commenter, vous aurez ma plus grande gratitude.

Retour aux bancs de colle

Il arrive des moments comme ça où on se rappelle vaguement de certains enseignements qu’on avait acquis à l’école. Après tant d’années passées à ne plus pratiquer certaines matières, on rouille et quand on s’en rend compte ça fait mal. Mal de tristesse je précise… Tant d’efforts pour avoir tout oublié ?! 😮

Un coup de baguette sur les doigts et hop :

Le tableau périodique des éléments, c’est révisé. Les tables de multiplication (Heu ben quoi ? Ca ne t’arrive jamais d’hésiter ? :-p) aussi. Un rapide rappel des notions du calcul matriciel n’y a pas échappé non plus. Passons à l’application casse-tête : la résolution de problèmes mathématiques et/ou logiques.

J’aime les nombres, un peu moins les lettres mais une petite révision de problèmes exprimés en français ne m’a pas fait de mal, que du contraire (enfin si un peu :D).

Comme quoi, on a beau être bon dans une matière, si on est borné à ne pas lire correctement la question posée, on va à côté de la plaque. L’écoute, la recherche et la remise en question sont les maîtres mots de la réussite… Je ne l’oublierai pas.

Prochaine cible : Une petite révision géographique ? Heu… Non, j’attendrai le jour de ma retraite pour réviser de mes propres yeux :-p (C’est une blague).

Optimiser sa perte de temps

Aujourd’hui j’ai passé une heure à faire de l’activité geekesque inutile. Le pire c’est que ce n’est pourtant pas la première fois que je suis déçu après avoir suivi quelques opérations qui, disent-ils, améliorent considérablement les performances d’un système ou d’un logiciel.

Autrefois je passais mon temps à optimiser la gestion de la mémoire de Windaube 98. Swapfile machin chose, instructions VB,… mais au final je ne voyais aucune amélioration.

Voilà que j’ai remis une confiance aveugle envers un document qui prétendait, via ses opérations, pouvoir améliorer le temps de démarrage de FireFox ainsi que son temps de chargement des pages. Quelques coups de about:config, quelques tests et rien.

J’entends alors parler de l’extension FasterFox… voyons voir que je l’installe et à part un joli compteur du temps de chargement de la page, rien. Je décide quand même de me documenter à propos de ce module et il s’avère en réalité qu’il n’améliore rien (à part surcharger le serveur de requêtes) si ce n’est qu’il dispose d’une fonction afin de pré charger en cache toutes les pages dont la page actuelle pointe (une affaire de prefetching).

Conclusion : J’ai remis toutes les valeurs comme par défaut et je me dis que c’est bien comme ça. L’optimisation est une affaire qui ne peut pas se généraliser à tous les utilisateurs et à toutes ses habitudes.

Nostalgiquement vôtre

On est généralement nostalgique d’une chose qui n’est pas près de nous au moment où on y pense, d’une personne, d’une période où tout était « différent »… Tant de petites ou grandes choses qui nous manquent. Voilà ma définition.

Je viens de regarder mon GSM que j’étais sur le point d’éteindre quand je me suis soudainement souvenu de cette période de débuts. Cette période où, vu le faible nombre de numéros enregistrés dans ma mémoire (celle du téléphone hein), je prenais le temps d’envoyer un message à l’un et l’autre. Cette période où je considérais cet outil comme l’indispensablement né et admirable.

Nostalgique je suis de ma belle Sicile. Même si le paysage change, même si les gens changent, c’est toujours là-bas que mon cœur cherche la chaleur. La maison, les rues poussiéreuses, la langue, l’odeur, les fréquences radio,…

La nostalgie semble être un sentiment vraiment compliqué. Tous les éléments du passé, sans exception, doivent être rassemblés afin de faire passer cette nostalgie. Un seul élément manquant à l’appel et ce sentiment s’intensifie.

Une chanson, une image, une odeur,… qui passe par là et qui rappelle de bons moments passés. Mais je ne suis pas convaincu qu’être nostalgique signifie forcément de vouloir revivre identiquement une situation donnée, même si elle nous manque, même si elle nous a plu.

Ce soir je suis nostalgique… de plein de choses ou de rien. Tout se remue en même temps dans ma tête mais je garde un certain sourire, parfois larmoyant (le sourire).

La vie continue, elle ne s’est jamais arrêtée mais j’ai peut-être cessé de la suivre à un moment ou un autre… les moments où j’étais nostalgique peut-être.

Souriez, vous êtes passés sur le blog d’un ptit mec qui pense trop (ou pas assez). 😉

Stop avec ces réseaux d’amis à la noix !

Il passe difficilement une semaine sans que je ne reçoive des invitations de la part d’amis (mot que je mettrais entre guillemets) au travers de services (badoo, Amiz, alertedeanniversaire,…) qui demandent le mot de passe du compte e-mail afin de récupérer la liste de contacts. Tous y passent sans exception et quelle déception de la part de certains de mes contacts informaticiens qui sont dans les premiers à tomber dans ce panneau.

Le pire est encore de recevoir des rappels quand on ne répond pas à ces invitations « d’amitié » (laissez-moi rire, atta je le fais sérieusement : looooool).

Je considère ça comme du spam. Je ne comprends pas comment un service puisse se permettre de proposer à un utilisateur d’envoyer une des invitations d’amitié non personnalisées (en plus) à tous ses contacts.

Alors j’exprime mon ras de bol ! Badoo, Amiz, alertedeanniversaire et compagnie, revoyez votre conscience (et au passage votre français aussi) !

Car la majorité des personnes qui tombent dans leur panneau regrettent amèrement de s’être inscrits et cherchent aussitôt l’option de désinscription. N’oubliez pas de changer votre mot de passe après l’avoir donné… sait-on jamais 😀 En attendant eux, ils ont une base de données d’adresses électroniques bien remplie… et malheureusement la mienne y figure alors que je n’ai rien demandé.

Plutôt fâcheux comme situation, non ?